Titre |
Commentaire tout à fait personnel | Note |
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Dan SIMMONS L'échiquier du mal (4 tomes) |
Un homme qui lit les cerveaux des autres ce n'est pas banal, mais si en plus il peut les utiliser (les autres) pour leur faire faire ce qu'il veut, cela devient dangereux, surtout quand c'est un ancien nazi sadique. C'est sur cette idée que commence un des meilleurs romans de SF que j'ai lu. | ***** |
Bernard LENTERIC Les maîtres du pain (Tome1) |
Histoire prenante, digne des meilleurs Lenteric. Difficile de refermer le livre, il n'y a pas de temps mort et l'histoire se tient parfaitement. La fin donne envie de lire le tome suivant immédiatement. Ce roman a été adapté pour la télévision. | **** |
Alix de St ANDRE L'ange et le réservoir à liquide de frein |
C'est bien écrit, c'est d'une poésie assez rare parmi les auteurs modernes, et c'est une jolie histoire d'une petite fille qui parle avec un ange qui s'ennuie. Pour un premier roman, c'est un petit chef-d'oeuvre | ***** |
L. RON HUBART La dianétique |
Quelle horreur, et dire que ce livre est la base de la secte scientiste,
La première partie est plutôt un postulat, juste un tout petit
peu faux, et prenant ce postulat comme une vérité, l'auteur
par une suite de petites démonstrations qui sont d'une très
grande logique, on arrive à une conclusion qui peut paraître
géniale. Sauf si l'on n'a pas oublié l'approximation du
début. En gros, c'est du style : A => B => C => D => E => F => G => H => I => J ...Z, et à la fin on est persuadé que Z est forcément vrai, sauf que le A du début, en fait c'était a mais en minuscule. CQFD. |
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Bernard LENTERIC Les maîtres du pain Tome2 |
Bonne fin du premier tome, malheureusement l'histoire ne reprend pas juste après la fin du premier tome, Le scénario est bon, mais le rythme d'écriture varie. De plus les "sauts" d'une époque à la suivante sont parfois un peu trop rapides. | *** |
Douglas COUPLAND MICROSERF |
Roman ne pouvant (a priori) être lu et compris que par un informaticien micro. Intéressant pour avoir une idée du travail au states, en particulier dans des boites comme Apple ou Microsoft. L'histoire se traîne parfois un peu. C'est autant une suite de réflexion sur la vie qu'un roman sur le métier d'informaticien. | **** |
| Jean-Bernard POUY
Le poulpe 1 : La petite écuyère a café. |
L'auteur défini lui-même son livre comme un bouquin de gare. Et c'est exactement ça, sauf que c'est en bon français, et que le thème du livre (le racisme) change des jeux de massacre des "exécuteur" et autres "mercenaire". | ** |
| Hitchcock présente
Histoires à frémir debout. |
Quelques nouvelles sans intérêt, ca a un goût de déjà lu, petits scénarios sans intérêt. Je ne l'ai même pas fini. | * |
| Paulo COELHO
l'Alchimiste |
C'est un conte plus qu'un roman, et c'est très beau, de la très belle poésie. Mais on sent un léger essoufflement après les deux premiers tiers du livre, et la fin semble un peu longue et répétitive. Dommage. | *** |
| San-Antonio
La nurse anglaise |
Le dernier des Frédérique DARD est sûrement un des plus étonnants qu'il n'ai jamais écrit. C'est l'histoire d'un serial-killer imaginaire en Angleterre. Franchement immoral Un livre impossible à reposer quand on l'a commencé, mais à déconseiller aux puritains, comme tous les grands San-Antonio | ***** |
| Ray BRADBURY
Chroniques martiennes |
Quel drôle de roman! C'est vraiment une suite de chronique sur une centaine d'années, c'est bien écrit et plein d'idées folles et sympathiques. Référence de science-fiction. | **** |
| Patrick CAUVIN
Tout ce que Joseph écrivit cette année-là |
Seul Patrick CAUVIN peut écrire comme un enfant, et cette suite de petit texte (début de romans, de pièces de théâtre, ou simples réflexions) est une petite merveille. Si vous lisez dans le métro, attention certains passages sont d'un tel comique que l'on ne peut retenir un fou rire. Ce n'est pas un roman, mais il y a une telle fraîcheur dans l'écriture que l'on en demanderait encore une centaine de pages. | ***** |
| Robert LUDLUM
La mosaïque parsifale |
Un roman d'espionnage très classique dans le genre Ludlum. C'est loin d'être un de ses meilleurs, mais ce n'est pas trop mal quand même pour lire pendant les vacances. | *** |
| Loup DURAND
Le grand silence |
Le silence du grand nord pour échapper au bruit des autres. Voila résume le problème d'un homme dont la maladie est de lire les pensées des autres, hommes et animaux. Quand en plus il est poursuivi pour être étudié, ses angoisses augmentent. Très beau texte de l'auteur de "DADDY". | ***** |
| Dan SIMMONS
Nuit d'été |
C'est la première fois que je lis un roman "d'horreur", un de ces prétendus livres qui vous foutent les ch'tons quand vous lisez ça la nuit. et bien quelle déception, je ne doit pas être réceptif, mais j'ai trouvé ce livre plat, sans aucune surprise. Et pourtant il est recommandé par S. KING. J'ai plutôt l'impression que l'ami SIMMONS avait besoin d'argent... | * |
| François MOREL
Meuh |
Au début,on est étonné, mais au bout de vingt pages, on est déjà lassé, ça pourrait faire penser à un certain "rhinocéros", en beaucoup moins bien. C'est écrit gros et il n'y a pas beaucoup de page, alors on le fini, et l'on se dit que ça ne valait pas le coup de le finir | ** |
| Dan SIMMONS
Hypérion |
Enfin un grand livre de science-fiction du niveau de Dune, un de ces livres que l'on a du mal à reposer, qui vous tiens éveillé jusqu'à 2 heures du mat. Une idée nouvelle toutes les 20 pages. Ce n'est pas un roman, c'est de l'art. | ***** |
| Dan SIMMONS
La chute d'Hypérion |
Suite et fin du précédent, tout ce qui était resté flou dans le premier tôme est expliqué. Et toujours autant de trouvailles, l'imagination au service de l'écriture. Et il semble que ce n'est qu'un début, la fin, complète et précise laisse envisager une suite. | ***** |
| Dan SIMMONS
Endimion |
200 ans ont passé, et l'univers a continué à évoluer après la chute de l'empire, il y a beaucoup didées, mais ce n'est tout de même pas à la hauteur des deux premiers volumes. La suite n'est pas écrite, et on reste sur sa faim. Vivement le dénouement dans le tôme 4. | *** |
(Dernière mise à jour : mercredi 23 juillet 1997)